En cette nuit de 1798 à Saint-Jean d'Acre, le grand argentier trouble la paix du monastère ; son épouse est partie avec un ottoman. Le jeune moine Lucas est désigné pour poursuivre le couple adultère, ce qui le mène en Algérie. Après de nombreuses péripéties, il découvre l'islam et la vie, et s'éprend de la fugitive qu'il doit ramener.
Ces poèmes, cri contre la violence faite aux hommes et à la nature, expriment la nostalgie des choses évanouies avec l'enfance et d'un monde où le mot "étranger" ne signifie rien.
Yudah vit dans le désert algérien. Le jour où le rabbin Haïm arrive dans son village à la recherche d'une nouvelle épouse pour son maître l'émir Abdel Kader, sa vie bascule. Il la choisit et l'emmène dans un campement de tentes. Yudah attend l'émir comme le Messie mais celui-ci est parti au champ de bataille. Après quinze ans de combat, il rend les armes et est contraint à l'exil.
La poétesse et romancière revient sur sa vie au Liban et médite sur sa façon d'écrire, faite de fiction et de souvenirs réels liés par une chronologie non linéaire. Elle exprime également son amour pour les chats et se souvient de ses maris, des gens qu'elle a aimés, de ceux qu'elle a rencontrés, etc